Christine COCQUET tissant dans son atelier

Christine Cocquet fait revivre le tissage et l’art ancestral de la laine du Marquenterre

Christine et la laine c’est histoire de longue date, et désormais une affaire au quotidien. L’aboutissement d’un projet de 40 ans qui fait de la propriétaire du Henson Marquenterre.

En un mot comme en cent, Christine Cocquet est une passionnée discrète… et pourtant si prolixe. Les adeptes d’événements équestres la croisent régulièrement au cœur du centre équestre Henson Marquenterre qu’elle manage avec son mari, Dominique, depuis une vingtaine d’années.

Fugace, Christine fuit volontiers le devant de la scène pour se démener en coulisse pour le quotidien des quatre sites à Saint-Quentin-en-Tourmont, berceau de la race Henson, mais aussi au Haras de la ferme Saint-Jean à Rue, à l’Étrier à Fort-Mahon Plage et depuis près d’un an au temple mondial du cheval, à Chantilly. Mais ce que l’on sait moins, c’est que Christine cultive un savoir-faire qu’elle entretient depuis plus quarante ans : le tissage de la laine.À défaut de pouvoir en faire sa profession pleine et entière, Christine a pratiqué le tissage de la laine en dilettante, et aujourd’hui au quotidien. Et attention : tout dans sa production est issu de son cru, y compris la laine récoltée chaque année à partir de l’élevage de moutons qui accompagne les centres équestres du Henson Marquenterre.

Christine COCQUET tissant dans son atelier


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